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African Holocaust | Contact the Holocaust Slavery Society

 

     
     

     

 
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Until lions tell their tale, the story of the hunt will always glorify the hunter

African Proverb

Power concedes nothing without a demand. It never did and it never will

– Frederick Douglass

Ugly is ignorance worn with pride

– Owen 'Alik Shahadah

The most pathetic thing is for a slave who doesn't know that he is a slave

– Malcolm X

 
 

African Holocaust (Maafa) est une association à but non-lucratif dédiée à l’étude progressive de l’histoire et la culture Africaines. Elle a été crée par des intellectuels africains désireux de restituer l’expérience africaine passée et présente de manière objective. Nous rassemblons des œuvres couvrant différents domaines d’étude qui selon nous sont essentielles à la construction de la conscience et de la pensée Africaine. Nous rejetons toutes les formes d’oppression (de l’Afrique du Sud à la Palestine). Nous dénonçons les méfaits de la globalisation, la monoculture et luttons contre l’inégalité des sexes, l’intolérance religieuse et le racisme..

Nous avons pour but de produire un ensemble de publications accessibles à tous, sur la culture et histoire Africaine par les africains.Dans cette même dynamique, nous pensons que les Africains doivent être les premiers auteurs leur histoire et tirer profit économiquement de leur capital culturel. Nous espérons par ce biais faciliter les échanges avec les autres cultures et mieux faire connaître l’expérience africaine au reste du monde.

Nous avons des objectifs concrets par rapport à cette étude de l’Afrique. Bien qu’étant optimiste notre approche n’est pas romancée. Par ce projet nous voulons apporter notre contribution à l’histoire humaine et promouvoir la diversité des peuples.

Nous pensons notre contribution culturelle au monde passe avant tout par la réalisation de soi en tant qu’africain. Ce site ne requiert aucune donation. Cependant vous pouvez manifester votre soutien en vous procurant les œuvres disponibles via le site. Votre participation aidera au maintien et à la mise à jour du site.

Maafa
Les medias
De manière générale, les médias ne donnent pas une image positive des personnes d’origine africaine. La culture et l’histoire africaine sont très souvent évoquées et racontées au travers du prisme Européen. Dans un souci d’objectivité et de justesse, tout peuple doit être en mesure de raconter sa propre histoire en toute liberté. Pour élever l’âme et l’esprit de l’africain, nous devons redonner a l’histoire et a la culture son authenticité.
Maafa
Ne jamais oublier

Nombreux sont ceux qui estiment que l’esclavage (Maafa) est une tragédie dont il faut avoir honte ou voir même, oublier; un sujet négatif dont on ne peut parler à voix haute en société ; un sujet qui désormais appartient à un passé lointain. Il est cependant indéniable que le commerce triangulaire a transformé le monde et laisse d’horribles séquelles.

Pour surmonter la destruction qu’a engendre cette pratique inhumaine, les opprimés du monde doivent s’unir et redonner au monde son humanité, pour que plus jamais une telle barbarie ne se reproduise dans le futur.

On retrouve chez les peuples opprimes des idées, des sentiments communs nécessaires pour comprendre et aborder les problèmes posés par les inégalités sociales et la pauvreté dans le monde.

Maafa
Le langage et l’Africain

C’est au moment où les africains ont été réduis à l’esclavage que les termes‘noir’, ‘black’, et ‘nègre’ ont été crées pour décrire l’africain. Il était crucial de donner un nouveau nom à l’africain pour en faire un esclave. Il s’agissait de couper tout lien entre l’africain et sa terre d’origine.

Le ‘noir’ (nègre en espagnol) est une fabrication, la conséquence d’une réalité sociopolitique récente. Le mot ‘noir’ ne fait référence à aucun pays ou ethnicité. Par conséquent, les termes ‘afro-américain’, ‘afro-britannique’, ‘afro-arabe’, ‘afro-brésilien’, et ‘afro-antillais’, relatifs à l’héritage et la nationalité des descendants d’africains sont plus précis et plus respectueux.

Le ‘noir’ (nègre en espagnol) est une construction qui articule une réalité sociopolitique récente. Les appellations comme ‘noir’ ne font aucune référence à un pays ou à une ethnicité. Par conséquent, les termes ‘afro-américain’, ‘afro-britannique’, ‘afro-arabe’, ‘afro-brésilien’, et ‘afro-antillais’, qui font référence à l’héritage et nationalité des personnes africaines sont plus précis et plus respectueux.

De nos jours, les termes comme ‘Afrique Sub-saharienne’ dominent les livres d’histoire et les discussions sur l’Afrique. Pourtant, les africains ne sont pas les inventeurs de ce terme. Il s’agit plutôt d’un outil linguistique utilisé par les européens pour diviser et mieux conquérir l’Afrique. Ainsi, ces divisions artificielles en cloisonnent les africains dans des délimitations imaginaires qui n’existent ni politiquement (l’Union Africain), ni ethniquement (Touareg), ni linguistiquement (afro-asiatique), ni religieusement (l’Islam), ou physiquement (le Soudan et le Mali).

 

 

   

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